Comment choisir un bon thérapeute (ou un coach) ?

Pour commencer, je dirais que le plus important est de trouver un thérapeute qui à lui même fait un travail de connaissance de soi, un thérapeute qui a parcouru le chemin que vous souhaitez parcourir et qui sera donc à même de vous guider et de vous accompagner efficacement !

FORMATION THÉRAPIE HOLISTIQUE ET COACHING HOLISTIQUE

Frédéric

Comment choisir un bon thérapeute (ou un coach) ?

Pour commencer, je dirais que le plus important est de
trouver un thérapeute qui à lui même fait un travail de connaissance de soi, un thérapeute qui a parcouru le chemin que vous souhaitez parcourir et qui sera donc à même de vous guider et de vous accompagner efficacement !

Comment quelqu'un peut-il nous indiquer le chemin vers un lieu où il n'a jamais été, comment transmettre des outils et des compréhensions que nous n'avons pas nous-même expérimentées ?

C'est d'ailleurs la première étape que parcourent les thérapeutes et les coachs qui suivent ma formation.

Ensuite, il me parait également essentiel de
vous sentir "connecté, attiré, en résonnance" avec votre thérapeute. C'est à dire de ressentir que vous êtes sur la même longueur d'onde, que vous avez des points communs...

Pas évident au départ même si en écoutant nos ressentis intérieurs, nous pouvons savoir en lisant ce que dit un thérapeute ou en le voyant s'exprimer s'il nous correspond, nous pouvons ressentir que cette résonnace se fait en nous et que nous pouvons avancer ensemble.

Et puis en suivant une première séance avec votre thérapeute ou votre coach, vous saurez si son fonctionnement vous correspond et si vous avez envie d'avancer avec lui ou avec elle.
Vous saurez s'il est aligné, cohérent, authentique et bienveillant, des qualités qui me semblent indispensables !

Une question qui revient souvent est la différence entre un coach et un thérapeute.
Pour répondre simplement à cette question, même si cela demande plus de précisions, je dirais qu'un thérapeute travaille sur l'instant présent et le passé, un coach va focaliser son intervention sur le futur et souvent sur des objectifs.

Cette constation est générale, cela ne veut pas dire que le coach ne peut pas travailler sur le présent ou le passé ni qu'un thérapeute ne peut travailler avec vous sur vos objectifs.
Mais les outils que les uns et les autres utilisent sont souvent spécifiques et donc le coach et le thérapeute pour avoir une approche holistique allant du passé au futur en passant par le présent doit avoir été formé efficacement pour savoir intervenir à ces différents niveaux.

Un thérapeute va aussi vous permettre de mieux vous connaitre, de comprendre vos émotions, de vous libérer de peur ou situations qui vous bloquent et vous pèsent alors que le caoch encore une fois de manière générale va se concentrer sur l'atteinte de vos objectifs, sur la découverte et l'utilisation de vos ressources, sur la mise en place d'actions concrètes...

Je pense contrairement à beaucoup dans ce domaine qu'un thérapeute peut être coach et qu'un coach peut être thérapeute tant qu'il ou elle a fait ce travail intérieur, tant qu'il ou elle s'est formé aux méthodes permettant de travailler aux différents niveaux de l'être : émotionnel, mental, physique et spirituel !

Ce qui m'amène au prochain élément de réflexion pour choisir votre thérapeute ou votre coach...

Il s'agit des outils et des méthodes qu'il ou elle utilise. Est-ce que, une fois de plus, vous résonnez avec ses outils, avec la manière dont il ou elle travaille avec vous...? (vous pourrez découvrir ci-dessous quelques explications sur les différentes techniques et outils que peuvent utiliser les coachs et thérapeutes)

Ici encore sauf si vous avez déjà expérimenté certaines méthodes, vous ne le saurez qu'en en faisant l'expérience.

Mais comme tous thérapeutes, chacun a sa spécialité et ses méthodes favorites et donc chaque thérapeute, qu'il soit thérapeute holistique ou non vous offrira une nouvelle expérience d'accompagnement, avec sa sensibilité, son parcours et ses expériences, ses propres techniques et sa manière unique de s'en servir...

Je pourrais vous parler pendant des heures des différentes méthodes et techniques qu'utilisent les coachs et les thérapeutes mais je réserve ça à celles et ceux qui suivent ma formation car c'est n'est pas le but ici...

Mais ce qui peut être intéressant pour vous de savoir, est ce que vous pouvez attendre des différentes méthodes.

Certaines sont douces, d'autres plus intenses, certaines inclues des jeux de rôles ou des états modifiés des conscience par exemple. Mais en fait peu importe, pour moi et pour beaucoup de thérapeutes avec qui je travaille, l'idée générale d'un accompagnement est de vous permettre de toujours être au centre du coaching et de la thérapie, c'est à dire de
vous permettre de faire VOS propres expériences, d'avoir VOS propres réalisations, VOS propres prises de conscience, de prendre la responsabilité de VOS séances, de ce que VOUS en faites et des résultats que VOUS mettrez en place dans VOTRE vie !

Et donc pour revenir au sujet de cette page, un BON thérapeute est un thérapeute qui ne vous donne pas de conseils, qui ne vous juge pas, il ne vous soigne pas, ne vous analyse pas et ne vous dit pas quoi faire...
Un bon thérapeute est bienveillant et empathique,
il vous permet de trouver en vous, VOS propres ressources et VOS propres solutions.

Alors que ce soit un "coach" ou un "thérapeute" et qu'elle que soit la méthode qu'il ou elle utilise, s'il vous permet de trouver en vous ce potentiel, alors c'est un bon "coach" ou un bon "thérapeute" !

Un autre aspect et je terminerai là dessus, est lié à vos objectifs, qui doivent être en lien avec ce que propose votre coach ou thérapeute... Selon vos besoins, choisissez un thérapeute ou un coach qui saura les comblés.

Comme vous pouvez le voir dans les descriptifs des coachs et thérapeutes qui ont suivi ma formation (cliquez ici pour voir leur profil),
chaque coach ou thérapeute à ses spécificités, que ce soit la thérapie de couple ou familliale, l'accompagnement des adolescents, du coaching individuel lié à des aspects personnels, sportifs ou encore professionnels, un coaching qui focalise plus sur la santé et la nutrition ou encore sur l'aspect spirituel...

Les Coachs et les Thérapeutes ayant suivi la Formation Holistique que je propose comme l'implique le mot Holistique ont toutes et tous la capacité de vous accompagner à différents niveaux : mental, émotionnel, physique ou encore spirituel.

Ils ont aussi les outils pour vous guider dans votre vie personnelle, vos relations, votre travail ou futur changement professionnel, ils/elles sauront vous guider pour améliorer votre santé, gérer votre stress et vos émotions, vous apporter des outils comme la méditation, vous accompagner après une séparation ou un deuil, vous permettre entre autres d'améliorer votre communication et l'estime de soi, d'atteindre vos objectifs, découvrir votre mission de vie, vous libérer d'une phobie et tellement plus...

Sélectionnez le Coach ou le Thérapeute qui semble le plus, vous correspondre, qui résonne en vous et qui dans son approche semble pouvoir au mieux combler vos besoins !

Frédéric Deltour

Si vous êtes intéressé pour vous former aux métiers de coach de vie et thérapeute holistique, vous pouvez découvrir la Formation Certifiante que je propose sur cette page :

https://fredericdeltour.com/formation-cours-en-ligne.html

Si vous voulez découvrir quelques uns des coachs et des thérapeutes que j'ai formé, vous pouvez voir leur profil et description sur cette page :

https://fredericdeltour.com/formation-cours-en-ligne/trouver-un-therapeute-coach-de-vie-famille-couple-ado.html

Pour comprendre comment choisir un bon thérapeute, voici quelques explications sur les différentes
techniques et méthodes que peuvent utiliser les coachs et thérapeutes.
Principalement celles enseignées par Frédéric dans sa Formation Holistique...

Approche Centrée sur la Personne :

L’approche centrée sur la personne (ACP) est une méthode de psychothérapie et de relation d'aide (counselling) créée par le psychologue nord-américain Carl Rogers (1902-1987).

L’approche centrée sur la personne appartient au courant de la psychologie humaniste-existentielle également dénommée « troisième force » sur le continent américain, aux côtés de la psychanalyse et du béhaviorisme (thérapie comportementale)1.

Au-delà de la psychothérapie, les idées de Carl Rogers influencent fortement le champ des relations humaines. En 1987, année de sa mort, il est d'ailleurs pressenti comme candidat au prix Nobel de la Paix [réf. nécessaire]2 pour ses interventions de facilitation en Afrique du Sud, en Irlande, en Amérique centrale et dans l'ex-Union soviétique.

Sa méthode met l'accent sur la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient (empathie, congruence et considération positive inconditionnelle). Cette approche a été introduite en France sous l'appellation de méthode non-directive dans les années 1950, mais Carl Rogers l'avait déjà dénommée psychothérapie centrée sur le client (« Client-Centered Therapy ») puis approche centrée sur la personne (« Person-centered Approach »).

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Approche_centr%C3%A9e_sur_la_personne

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Carl_Rogers

L'empathie :

L'empathie1 est la reconnaissance et la compréhension des sentiments et des émotions d'un autre individu. Dans un sens plus général, elle représente la reconnaissance de ses états non-émotionnels, tels que ses propres croyances. Dans ce dernier cas, il est plus spécifiquement question de l’empathie cognitive2.

Dans le langage courant, le phénomène d'empathie est souvent illustré par l'expression se mettre à la place de l'autre3. [...]

Dans l'étude des relations interindividuelles, l'empathie est donc différente des notions de sympathie, de compassion, d'altruisme ou de contagion émotionnelle, qui peuvent lui être associées.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Empathie

La Thérapie Gestalt ou Gestalt-Thérapie :

La Gestalt-thérapie, parfois appelée Gestalt, est à la fois une approche thérapeutique, un corpus de concepts et un ensemble de pratiques visant un changement personnel, psychosocial et organisationnel.

  • Cette approche thérapeutique est centrée sur l’interaction constante de l’être humain avec son environnement. Elle s’intéresse à la manière dont cette interaction prend forme et tente de mettre du mouvement lorsque cette forme est figée et répétitive. En effet, le terme allemand « Gestalt » se traduit par « forme », au sens de « prendre forme », « s’organiser », « se construire ».

  • Le corpus de concepts s’organise autour de la notion de contact vue comme un processus. La personne en tant qu’organisme est en contact avec l’environnement et aucun organisme ne subsiste sans échange avec l’environnement. La théorie de la Gestalt-thérapie permet de modéliser ce processus en s’appuyant sur une philosophie phénoménologique et pragmatique.

  • Cette vision des interactions et l’intégration des concepts s’actualisent dans un ensemble de pratiques d’accompagnement des personnes, des groupes et des organisations. L’accent est mis sur l’expérience subjective et la prise en compte de ce qui se passe dans la situation présente.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gestalt-th%C3%A9rapie


Hypnose Ericksonienne :

L'hypnose ericksonienne est issue de la pratique de Milton Erickson (1901-1980). Caractérisée par une approche souple, indirecte (métaphores) et non dirigiste, cette forme d'hypnose a donné naissance à de nombreux courants de psychothérapie moderne : thérapie familiale, thérapie brève (stratégique, systémique), programmation neuro-linguistique (PNL)...

Pour Milton Erickson, l'inconscient est profondément bon et puissant. Il se révèle une puissance bienveillante avec laquelle l'état hypnotique doit permettre de coopérer. L'inconscient est capable de mobiliser des ressources intérieures, des potentialités susceptibles de conduire aux changements désirés. L'hypnose ericksonienne a pour but d'amener conscient et inconscient à travailler ensemble pour déclencher les changements utiles à la résolution du problème.

Milton Erickson enseignait à ses étudiants le respect du patient : chaque personne est unique et il ne peut y avoir de normalisation des techniques inductives; il faut prendre en compte la personnalité du patient et respecter sa demande.

Son approche s'illustre par une citation lors d'une conférence1 que Milton Erickson donna à Seattle en 1965 :

« Vous ne contrôlez pas le comportement d'une quelconque autre personne. Vous apprenez à le connaître, vous aidez les patients en l'utilisant, vous aidez les patients en les dirigeant de telle façon qu'ils rencontrent leurs besoins; mais vous ne travaillez pas avec les patients pour atteindre vos propres buts. Le but est leur bien-être, et si vous réussissez à obtenir leur bien-être, vous touchez directement votre propre bien-être. »

Il a joué un rôle important dans le renouvellement de l'hypnose clinique et a consacré de nombreux travaux à l'hypnose thérapeutique. Son approche innovante en psychothérapie repose sur la conviction que le patient possède en lui les ressources pour répondre de manière appropriée aux situations qu'il rencontre : il s'agit par conséquent d'utiliser ses compétences et ses possibilités d'adaptation personnelles.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hypnose_ericksonienne

Le Coaching :

Le sens premier de « coach », « grande voiture à chevaux » fabriquée à Kocs en Hongrie au xvie siècle, appelée coche en français, a amené, vers 1830, le sens figuré « instructeur / formateur », dans l'argot de l'Université d'Oxford, pour désigner un tuteur, un mentor, qui « transporte » l'élève vers un examen ; le sens « entraîneur sportif » serait apparu vers 18615.

Le coaching est le métier de l'accompagnement du dialogue entre le client et son coach. Il permet au client, par la construction de ces échanges, de trouver sa solution, c'est-à-dire, celle la plus adaptée à ses capacités, croyances, enjeux ou à sa situation.

La notion de « coaching », manquant de contours légaux, elle peut être utilisée par certains sans réelle compétence, il faut donc s'assurer du sérieux du praticien sachant qu'un diplôme ne certifie en rien les compétences de ce dernier (diplôme non reconnu, très coûteux, «acheté...).

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Coaching

Pour plus d'informations sur la Formation Holistique de Frédéric Deltour :

cliquez ici...

PNL ou Programmation Neuro Linguistique :

La programmation neuro-linguistique (abrégée « PNL » en français, et « NLP » en anglais) est une pratique pseudo-scientifique de médecine alternative élaborée dans les années 1970 aux États-Unis, à l'origine par John Grinder et Richard Bandler1 (qui a déposé la marque en 1976)Note 1, puis développée par de nombreux autres contributeurs dont Robert Dilts.

La PNL se présente comme l'étude des processus comportementaux acquis, considérés comme une Programmation Neurologique représentée par la Linguistique3. S'intéressant exclusivement aux informations émises sans interpréter les causes4, la PNL formalise des protocoles permettant l'explorations et l'évolution de ces structures comportementales. En s'intéressant notamment aux représentations mentales et aux automatismes, elle les identifie, les schématise et peut les proposer comme stratégie : très schématiquement, si une personne qui échoue dit se répéter « c'est dur », la « programmation » : « je peux le faire », associée à la réussite chez d'autres, peut être proposée. La PNL vise ainsi à décrire puis à reproduire les comportements efficaces5 et ses techniques préétablies6 se fondent sur des présupposés7 visant à décrire ce qui est associé à l'expérience subjective8 d'un sujet.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Programmation_neuro-linguistique

Psychologie Humaniste ou Approche Humaniste :

L'approche humaniste est un courant de la psychologie fondé sur une vision positive de l'être humain. C'est également un modèle de psychothérapie qui s'appuie sur la tendance innée de la personne à vouloir se réaliser, c'est-à-dire à mobiliser les forces de croissance psychologique et à développer son potentiel. La psychologie humaniste (Humanistic Psychology) apparaît à partir des années 1940 aux États-Unis, principalement sous l'impulsion d'Abraham Maslow1. Ce courant est parfois nommé « troisième force » (Third Force Psychology), faisant suite aux deux autres grands mouvements que sont la psychanalyse et le comportementalisme (béhaviorisme). Un quatrième courant lui fait suite : la psychologie transpersonnelle. L'approche existentielle-humaniste est souvent associée au mouvement du potentiel humain.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Psychologie_humaniste

La Psychologie Analytique :

La psychologie analytique (Analytische Psychologie en allemand) est une théorie psychologique élaborée par le psychiatre suisse Carl Gustav Jung à partir de 1913. Créée au départ pour se différencier de la psychanalyse de Sigmund FreudJ 1, elle se propose de faire l'investigation de l'inconscient et de l'« âme », c'est-à-dire de la psyché individuelle.

La faisant reposer sur une conception objective de la psyché, Jung a établi sa théorie en développant des concepts clés du domaine de la psychologie et de la psychanalyse, tels celui d'« inconscient collectif », d'« archétype » ou de « synchronicité ». Elle se distingue par sa prise en compte des mythes et traditions, révélateurs de la psyché, de toutes les époques et de tous les continents, par le rêve comme élément central de communication avec l'inconscient et par l'existence d'instances psychiques autonomes comme l'Animus pour la femme ou l'Anima pour l'homme, la persona ou l'ombre, communs aux deux sexes.

Considérant que le psychisme d'un individu est constitué aussi bien d'éléments de la vie personnelle du sujet que de représentations faisant appel aux mythes et symboles universels, la psychothérapie liée à la psychologie analytique se structure autour du patient et vise au développement du « Soi », par la découverte de cette totalité psychique à travers la notion d'individuation.

Carl Gustav Jung a été un pionnier de la psychologie des profondeurs : il a souligné le lien existant entre la structure de la psyché (c'est-à-dire l'« âme », dans le vocabulaire jungien) et ses productions et manifestations culturelles. Il a introduit dans sa méthode des notions de sciences humaines puisées dans des champs de connaissance aussi divers que l'anthropologie, l'alchimie, l'étude des rêves, la mythologie et la religion, ce qui lui a permis d'appréhender la « réalité de l'âme ». Si Jung n'a pas été le premier à étudier les rêves, ses contributions dans ce domaine ont été déterminantes.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Carl_Gustav_Jung

https://fr.wikipedia.org/wiki/Psychologie_analytique


La Thérapie Brève :

Une thérapie brève est une approche souvent psychologique d'un client ou d'un patient afin d'obtenir des résultats sur une très courte période, quelquefois en une ou deux séances (par exemple dans certains cas d'hypnothérapie). L'École de Palo Alto recommande une dizaine de séances pour une problématique donnée.

Il existe plusieurs sortes de psychothérapies brèves qui se référent à plusieurs modèles théoriques (psychanalytique : Balint1 ; Malan ; Sifneos, Gilliéron, etc. ; systémique ; behavioriste, etc). Le modèle psychanalytique a encore développé des traitements brefs pour des enfants (Winnicott, Filippo Muratori & Francisco Palacio Espasa, etc.). Une de ses formes est née aux États-Unis dans la mouvance systémique après la Seconde Guerre mondiale, inspirée principalement par les travaux du psychiatre et psychothérapeute Milton Erickson, il s'agit de l'hypnose ericksonienne.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9rapie_br%C3%A8ve

La Thérapie Brève Centrée sur la Solution :

La thérapie brève centrée sur la solution (TBCS) est une forme de thérapie créée en 1982 au Brief Family Therapy Center de Milwaukee par Steve de Shazer1.

Dans cette forme de thérapie, il ne s'agit pas ici de résoudre un problème mais de créer une solution ou de considérer la solution comme déjà là et parvenir à construire celle-ci.

La TBCS fait partie d'un courant historique des thérapies stratégiques. Elle est particulièrement utilisée en thérapie familiale autant qu'individuelle.

Prémisses : Il en existe trois :

  • Si ce n'est pas cassé, ne réparez pas.

  • Une fois que vous savez ce qui marche, refaites-le.

  • Si ça ne marche pas, ne recommencez pas : faites autre chose.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9rapie_br%C3%A8ve_centr%C3%A9e_sur_la_solution

Les Thérapies Comportementales :

Les thérapies comportementales et cognitives ou TCC1 (en anglais, cognitive behavioral therapy ou CBT) regroupent un ensemble de traitements des troubles psychiatriques (notamment addictions, psychoses2, dépressions et troubles anxieux) qui partagent une approche selon laquelle la thérapeutique doit être fondée sur les connaissances issues de la psychologie scientifique.

Elles doivent obéir à des protocoles relativement standardisés. Elles évaluent souvent l'évolution du patient au cours de la thérapie. Elles acceptent la démarche de médecine fondée sur les faits.

Les TCC ont pour particularité de s'attaquer aux difficultés du patient dans « l'ici et maintenant » par des exercices pratiques centrés sur les symptômes observables au travers du comportement et par l'accompagnement par le thérapeute qui vise à intervenir sur les processus mentaux dits aussi processus cognitifs, conscients ou non, considérés comme à l'origine des émotions et de leurs désordres. La standardisation de la pratique des TCC a contribué à la reconnaissance de leur efficacité par leur caractère reproductible qui est une des exigences de la démarche scientifique. Elles sont particulièrement indiquées pour les troubles anxieux (notamment les phobies) et les addictions.

Dans l'histoire de la psychologie clinique, les courants dits comportementalistes (visant d'abord à intervenir sur le comportement) et cognitifs (cherchant à intervenir sur les croyances, les représentations, et leurs processus de construction) sont apparus parallèlement au milieu du xxe siècle, parfois en compétition l'un avec l'autre. Depuis les années 1980, ce clivage historique entre comportementalisme et cognitivisme tend à disparaître dans la pratique thérapeutique3.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9rapie_cognitivo-comportementale

La thérapie rationnelle-émotive :

La thérapie rationnelle-émotive est une pratique psychothérapeutique empirique et directive, à fondements philosophiques, qui vise à soulager les individus souffrant de difficultés psycho-logiques (émotion et comportement). C'est une des principales formes de psychothérapie cognitivo-comportementale. Elle a été développée par Albert Ellis à partir de 1956 sous le nom de « rational therapy »1. En 1959 cette méthode prit le nom de « rational emotive therapy » et en 1992 celui de « Rational Emotive Behavior Therapy » (REBT).

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9rapie_rationnelle-%C3%A9motive

Pleine Conscience :

La pleine conscience est une expression désignant une attitude d'attention, de présence et de conscience vigilante, qui peut être interne (sensations, pensées, émotions, actions, motivations, etc.) ou externe (au monde environnant, bruits, objets, événements, etc.).

C'est une notion orientale ancienne, samma-sati en pali, samyak-smriti en sanskrit, l'« attention juste »1. Associée à l’enseignement de Siddhartha Gautama, elle joue un rôle important dans le bouddhisme où la pleine conscience est une étape nécessaire vers la libération (bodhi ou éveil spirituel) ; il s’agit d'un des membres du noble sentier octuple.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pleine_conscience

La Thérapie Familiale :

La thérapie familiale a été développée aux États-Unis dans les années 1950 et 1960 par plusieurs thérapeutes, dont Don Jackson, Salvador Minuchin, Jay Haley, Carl Whitaker, Virginia Satir, Murray Bowen et Nathan Ackerman1. Cette approche a été importée en Europe dans les années 1970, par des psychiatres italiens (Mara Selvini Palazzoli, Maurizio Andolfi) et belge (Mony Elkaïm). Elle s'est ensuite largement diffusée en France (avec des figures comme Robert Neuburger et Serge Hefez) et dans les différents pays européens et a été appliquée dans les institutions médico-sociales et psychiatriques.

En 1993 a été fondée la Société Française de Thérapie Familiale qui est l'organe représentatif des thérapeutes familiaux français 2.

En 2004, l’Inserm considère la thérapie familiale comme faisant partie, avec les thérapies psychodynamiques et cognitivo-comportementales, des trois principales approches psychothérapeutiques, pour « l’ancienneté et la solidité de leur conceptualisation théorique ; l’existence de formations spécifiques à leur pratique par des cliniciens ; leur utilisation répandue dans le domaine du soin »3. [...]

La thérapie familiale systémique vise à mobiliser les ressources de la famille et à améliorer la communication entre ses membres en vue d'apaiser des symptômes et/ou des difficultés relationnelles 4,5,6,7. [...]

Les thérapeutes familiaux d'orientation systémique utilisent des techniques spécifiques11,12,13 de questionnement et d’animation qui visent à favoriser la communication dans la famille et à stimuler le changement. [...]

L'efficacité de la thérapie familiale systémique a été démontrée scientifiquement dans les domaines suivants16,17,18 : troubles du comportement/problèmes de délinquance juvénile, trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) chez l’enfant, conduites toxicomaniaques et les problèmes liés à l’alcool, les troubles des conduites alimentaires, les schizophrénies et autres troubles psychotiques, troubles de l’humeur, troubles anxieux, troubles psychosomatiques chez l’enfant et l’adulte, troubles psycho-sexuels, détresse conjugale.

Il existe une autre approche de la thérapie familiale qui est la thérapie familiale psychanalytique19.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9rapie_familiale

Ci-dessous, vous trouverez, plus d'informations sur la partie Spirituelle de la Thérapie...

Les Pré-coachs :

Les pré-coach sont des coachs avant la lettre, c’est-à-dire avant l’utilisation du mot « Coach ».

Socrate : actif vers 399 av. J.-C. il est souvent cité avec sa maïeutique permettant d’accoucher les esprits en usant de séries de questions et d'ironie socratique[réf. nécessaire]9.

Milton Hyland Erickson : actif entre 1930 et 1980. Il intervenait outre son activité de psychiatre dans ce qui ressemble fortement à des coachings de vie par ex.: augmenter la performance sportive ou bien Jeune homme ayant du mal à trouver un travail ( cas316 et 305 in Thérapie hors du commun W.H.O'Hanlon et A.L.Hexum). Il n’utilisait l’hypnose formelle que dans 50% de ses séances ( selon J.A. Malarewicz in 14 leçons de Thérapie Stratégiques 1998 ESF Editeur). Selon ses exégètes (Ernest Rossi, Jay Haley) Il utilisait une conversation anodine, appelée hypnose sans hypnose ou hypnose conversationnelle sans transe pour aider le changement de son client. Cette conversation pouvait d’ailleurs porter sur des sujets anodins. De nombreux écrits relatent ses dialogues de coaching durant des séances transcrites qui permettent d’apprécier les stratégies de coaching mise en place.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Coaching

COMMUNICATION NON VIOLENTE


La communication non violente (CNV) est un processus de communication élaboré par Marshall B. Rosenberg. Selon son auteur, ce sont « le langage et les interactions qui renforcent notre aptitude à donner avec bienveillance et à inspirer aux autres le désir d'en faire autant »1. L'empathie est au cœur de la CNV, entamée dans les années 1970, ce qui constitue un point commun avec l'approche centrée sur la personne du psychologue Carl Rogers dont Marshall Rosenberg fut un des élèves. L'expression « non violente » est une référence au mouvement de Gandhi2 et signifie ici le fait de communiquer avec l'autre sans lui nuire (voir ahimsa). Marshall Rosenberg s'appuie également sur les travaux de l'économiste chilien Manfred Max-Neef, qui a analysé les besoins humains3,4.

Le Centre pour la Communication NonViolente (The Center for Nonviolent Communication, CNVC)5 parle également d'une « communication consciente » dont les caractéristiques principales sont l'empathie, l'authenticité et la responsabilité.

TERMINOLOGIE ET DÉFINITION

Alors que la grammaire française inciterait plusieurs auteurs francophones à utiliser l'expression « communication non violente », Marshall B. Rosenberg et le Center for Nonviolent Communication (CNVC) préfèrent la typographie « Communication NonViolente » avec plusieurs arguments :

  • « L'expression Communication NonViolente (CNV) est la traduction française d'une marque déposée aux États-Unis. Les majuscules et l'absence d'espace et de trait d'union en font partie. »6

  • « La CNV est un processus précis que nous devons à Marshall B. Rosenberg, que nous distinguons du terme générique de « communication non violente » qui appartient au vocabulaire courant et à tous »7

DÉFINITION DE MARSHALL ROSENBERG

Marshall Rosenberg propose une définition du processus de la CNV8[source insuffisante], processus qui, selon lui, est continuellement remis en question[citation nécessaire] :

« La Communication NonViolente, c'est la combinaison d'un langage, d'une façon de penser, d'un savoir-faire en communication et de moyens d'influence qui servent mon désir de faire trois choses :

– me libérer du conditionnement culturel qui est en discordance avec la manière dont je veux vivre ma vie ;

– acquérir le pouvoir de me mettre en lien avec moi-même et autrui d'une façon qui me permette de donner naturellement à partir de mon cœur ;

– acquérir le pouvoir de créer des structures qui soutiennent cette façon de donner. »

EXPLICATION DE LA TERMINOLOGIE EMPLOYÉE

  • Le « conditionnement culturel », pour Marshall Rosenberg, est la façon que nous aurions de porter des jugements sur les choses et les êtres en termes de « vrai » ou « faux »9, « bon » ou « mauvais », « normal » ou « anormal »…

  • « Se mettre en lien avec soi-même » pourrait s'expliquer comme : prendre pleinement conscience des sentiments et besoins qui nous habitent et qui, au départ, sont juste « vaguement conscients »[réf. nécessaire].

  • « Donner naturellement à partir de son cœur » pourrait se définir comme une générosité spontanée et volontaire, qui ne provient pas d'une contrainte ou d'une obligation morale extérieure[réf. nécessaire].

DÉFINITION DE THOMAS D'ANSEMBOURG

Selon Thomas d'Ansembourg, le processus de la CNV vise à aider à éclaircir ce que nous vivons10. Il ne s'agit pas de l'empathie en tant que telle, mais elle y donne accès. Il ne s'agit pas non plus d'une simple écoute, mais de « se relier efficacement à soi et à l'autre », c'est-à-dire prendre pleinement conscience de ses propres sentiments et de ceux de l'autre.

DÉFINITION DE DAVID SERVAN-SCHREIBER

Dans son best-seller Guérir, David Servan-Schreiber décrit le processus de la CNV en termes relativement simples. Selon lui, le premier principe de la CNV est de remplacer tout jugement par une observation objective, afin d'éviter les réactions habituelles de son interlocuteur face à une critique. Le second principe est d'éviter tout jugement sur son interlocuteur pour ne parler que de ce que l'on ressent, l'autre ne pouvant contester cela. L'effort consiste alors à décrire la situation en commençant ses phrases par « je », pour être « dans l'authenticité et l'ouverture »11.

BASES ET FINALITÉS

Pour Marshall Rosenberg, le but de la CNV est de « favoriser l'élan du cœur et nous relier à nous-mêmes et aux autres, laissant libre cours à notre bienveillance naturelle. »12.

Partant de sa conviction que la nature profonde des hommes les porte à « aimer donner et recevoir dans un esprit de bienveillance »13, il s'interroge sur notre capacité à nous couper de cette bienveillance au point de devenir violents ou agressifs, et s'efforce de comprendre comment certains individus, au contraire, parviennent à rester en contact avec cette bonté, même dans les épreuves.

Dans ces différents états, il constate le rôle déterminant du langage et de l'usage des mots. C'est pourquoi il définit un mode de communication qui « favorise l'élan du cœur et nous relie à nous-même et aux autres »12. Il appelle cela la Communication NonViolente en référence à Gandhi, au sens d'une communication où il ne reste plus trace de violence.

Pour le CNVC (Center for NonViolent Communication), organisme promoteur de la méthode et certificateur de ses formateurs, le but de la Communication NonViolente est de « tisser des liens sur le plan humain encourageant les échanges venant du cœur et de mettre sur pied des structures gouvernementales et civiles qui favorisent de tels échanges. »14

PROCESSUS DE COMMUNICATION NON VIOLENTE SELON ROSENBERG

« La CNV repose sur une pratique du langage qui renforce notre aptitude à conserver nos qualités de cœur, même dans des conditions éprouvantes. »12

Le processus de Communication NonViolente peut être utilisé de trois manières :

  • communiquer avec soi-même pour clarifier ce qui se passe en soi (auto-empathie) ;

  • communiquer vers l'autre d'une manière qui favorise la compréhension et l'acceptation du message (expression authentique);

  • recevoir un message de l'autre, l'écouter d'une manière qui favorise le dialogue quelle que soit sa manière de s'exprimer (empathie).

Pour que ce processus favorise réellement la coopération et le dialogue, cela suppose :

Quelques Références en lien avec dans les domaines cités ci-dessus :

Anthony Robbins : Conférencier et Coach de vie, il a rendu célèbre le Coaching et la PNL.

Firtz Perls : Psychiatre et psychothérapeute, il est le Fondateur de la Thérapie Gestalt.

Carl Rogers : Psychologue humaniste, il est le Fondateur de l'Approche Centrée sur la Personne.

Carl Gustav Jung : Psychiatre et Fondateur de la Psychologie Analytique.

Milton Erickson : Psychiatre et Psychologue, il est le fondateur de l'Hypnose Ericksonienne.

Marshall B. Rosenberg : Psychologue et Créateru de la Communication non violente.

2 women sitting on black sofa
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